Retour sur la question de la présence de graphène dans les vaccins anti-Covid

 

Retour sur la question de la présence de graphène dans les vaccins anti-Covid

Le 24 mai dernier, nous publiions un article concernant l’intérêt d’utiliser des nanomatériaux, dont l’oxyde de graphène dans les vaccins contre Covid. Le Pr Alphandéry justifiait dans la revue scientifique Journal of Materials Chemistry B que l’oxyde de graphène pouvait être intégré dans les vaccins contre Covid. Certains réseaux sociaux qualifient cette information de « fausse ».

Dans l’article publié le 24 mai dernier dans le Courrier des Stratèges, nous écrivions :

Dans un article intitulé Nano dimensions/adjuvants in COVID-19 vaccines, on apprend que « les vaccins proposés (sur le marché) contiennent plusieurs principes actifs vaccinaux différents (VAP), tels que le virus inactivé, l’antigène, l’ARNm et l’ADN, qui sont associés à des adjuvants standard ou à des nanomatériaux (NM) […] composés par exemple d’oxyde de graphène, de nanotubes de carbone, de micelles, d’exosomes, de vésicules membranaires, de polymères ou de NM (nanomatériaux) métalliques, en s’inspirant des nano-vaccins anticancéreux, dont les adjuvants peuvent partager certaines de leurs propriétés avec celles des vaccins viraux ».

Certains réseaux sociaux – par ailleurs sans aucune compétence dans le domaine médical ou scientifique – se permettent de critiquer la possibilité d’une présence de graphène dans les sérums… sans vérification aucune. On était habitué à ce que cet exercice soit réalisé par les médias subventionnés. Ces mêmes réseaux admettent par ailleurs que la protéine Spike « peut poser des problèmes » [de santé], pourtant il n’y a ici aucune reconnaissance par les autorités sanitaires ou les laboratoires pharmaceutiques d’une telle information. Il ne s’agit pas de faire « son marché » dans les informations parallèles ou non officielles en prétendant avoir un discernement.

Une publication importante car elle confirme indirectement l’observation par microscopie du contenu des vaccins

Cette publication du Pr Alphandéry est évidemment très importante car elle justifie l’intérêt scientifique de l’utilisation du graphène dans les adjuvants vaccinaux. Jusqu’à maintenant, face aux accusations de plusieurs scientifiques qui ont observé la présence d’oxyde de graphène dans les solutions vaccinales, ni les autorités publiques, ni les laboratoires pharmaceutiques n’ont reconnu la présence de graphène dans leurs vaccins.

Il est par ailleurs inexact de proclamer que seule l’équipe du Dr Campra a signalé la présence de graphène et de nanomatériaux dans les sérums vaccinaux (comme je l’ai lu). De nombreux scientifiques à travers le monde ont fait ce constat mais ne peuvent pas publier dans les revues scientifiques simplement parce qu’ils ne peuvent pas justifier la traçabilité des sérums et des lots qu’ils ont étudiés. Pour cela il faut l’accord du fabricant… qu’ils n’auront évidemment jamais. Un comité éditorial d’une revue scientifique ne peut pas valider un article qui ne présente pas une méthodologie acceptable. Et récupérer clandestinement des sérums chez un médecin (complice) ou dans un hôpital n’est pas recevable. Donc circulez, il n’y a rien à voir, on range tout cela dans la case « complotiste », c’est pratique et le mot a été créé pour cela.

Affirmer qu’on ne peut se baser sur les seules révélations de la Quinta Columna (exilée sur Crowdbunker, l’une des seules plateformes non censurée) est navrant. Au courrier des Stratèges, nous avons reçu en direct des images réalisées par un biologiste en microscopie et un médecin, ce dernier s’est exprimé sur ces images. J’ai ensuite proposé une analyse documentée ici dont voici un extrait :

Après avoir réalisé des recherches et vérifié la similitude des phénomènes observés, on peut affirmer qu’il s’agit de l’identification d’oxyde de graphène dans le vaccin Janssen. Cela a déjà été observé avec un autre type de microscope a spectrométrie RAMAN par une équipe espagnole pour le « vaccin anti Covid » de la marque Janssen. Nous exposons ci-dessous des images issues de travaux réalisés en Espagne fin 2021 et d’images issues de la vidéo française en 2022. Les analogies sont très nettement visibles même si le matériel de microscopie utilisé est différent.

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Images 1

Images 2

Dans les deux cas, on observe des courbes fractales qui ressemblent à des pétales et plus globalement une forme médullaire apparait sur les images françaises. Quant à la « nébuleuse » (en mouvement sur la vidéo non disponible ici, cf. image 1b), elle s’apparente à un phénomène de polymérisation.

L’équipe espagnole du Dr Campra avait déjà observé des phénomènes similaires dans les vaccins Pfizer en 2021, la segmentation de la structure observée (filaments qui se dessinent) est probablement provoquée par la dilatation thermique, induite par le séchage de l’échantillon, ce qui provoque son expansion et, par conséquent, l’émergence de diverses régions bien différenciées.

L’oxyde de graphène est entouré d’une enveloppe protéinique afin de permettre un gain de fonction et éviter qu’il ne se dégrade trop vite une fois injecté. « Dans le cas de l’échantillon du vaccin Janssen, analysé par le Professeur Campra, on sait qu’il contient de l’oxyde de graphène, des nano-tubes de carbone et, en très grande probabilité, quelque type d’hydrogel – ainsi que d’autres entités qui restent à identifier ».

D’autres sources existent sur la présence du graphène dans les vaccins contre Covid

 Enfin, il est également facile de visionner le dernier documentaire de Pierre Barnérias – Hold Out – où un pharmacien de l’industrie pharmaceutique observe et commente le contenu des vaccins Covid. Edifiant.

Enfin, s’il fallait encore approfondir la question, nous recommandons de faire des recherches en langue anglaise et espagnole sur la toile pour découvrir d’autres images, évidemment différentes de celles de l’équipe de Campra. De même, 17 000 médecins et scientifiques se sont récemment réunis pour contester la politique sanitaire, preuves à l’appui de ce qu’ils ont aussi découvert, ils évoquent les nanoparticules lipidiques et leur forte toxicité(« minute 6 » de la vidéo) sans citer explicitement la présence de graphène. Ils dénoncent l’inutilité des masques dans l’épidémie de Covid, ce que tous les spécialistes des épidémies par transmission aérosolisée savent (et n’ont pas dénoncé pour la plupart). Les masques contiennent du graphène et leur effet a été de « graphéniser » les usagers. Respirer du graphène revient à respirer de l’amiante et les risques de cancer pourraient être plus élevés que ceux liés au Covid. On ne peut ici accuser la protéine Spike, il s’agit bien de la toxicité du graphène. Plus d’une soixantaine de publications sur la toxicité du graphène sont disponibles dans le dossier consacré à l’oxyde de graphène dans les vaccins.

En conclusion, que des personnes bien intentionnées mais totalement incompétentes et particulièrement bien suivies sur les réseaux sociaux dénigrent certaines réalités contribuent à créer la confusion. Nos adversaires le font déjà très bien et il serait d’autant plus ajusté de rester unis.

J’en profite pour rappeler deux points importants à nos lecteurs : nos adversaires ne sont pas les personnes vaccinées ni ceux qui dans le système collaborent de bonne foi à ce qu’ils pensent être une politique de santé publique, mais la troïka des puissants de ce monde qui ont mis en place un agenda mondial avec la complicité des laboratoires pharmaceutiques et de nos gouvernements. Enfin en Australie, ils commencent à sanctionner ceux qui n’adhèrent pas à la pensée sanitaire, y compris les réseaux sociaux. Il faut donc s’attendre à ne plus pouvoir s’exprimer librement un jour ou l’autre, ça s’appelle la dictature.

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