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Affichage des articles du mars, 2022

Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI

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  Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI Le 22 mars dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia ainsi que six autres personnes ont été arrêtées par la DGSI dans le cadre d’une enquête liée à Rémy Daillet, mis en examen le 22 octobre dernier pour  "association de malfaiteurs terroriste criminelle" . Elle était l'avocate de cet homme, connu pour ses appels insurrectionnels visant à renverser le gouvernement. Elle ressort de garde à vue le 24 mars et nous confie aujourd'hui son ressenti à travers un communiqué officiel, dans lequel elle souligne que  "rien ne lui est reproché" .  "Je n’ai fait l’objet d’aucune poursuite, je n’ai pas été mise en examen, ni même placée sous le statut de témoin assisté" , explique-t-elle. Elle y raconte comment s'est déroulée l'interpellation ainsi que l'interrogatoire, en insistant sur les  "conditions déplorables"  dont nous faisait aussi part Sylvain Baron,

33ème jour de l’Opération militaire spéciale russe

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  33ème jour de l’Opération militaire spéciale russe Chers amis, On constate une véritable panique qui traverse la société russe.  Elle est due aux discussions qui ont lieu en Turquie entre les Russes et les Ukronazis. C’est un point sensible pour la plupart des Russes, car dans l’histoire russe, il y a eu de nombreux exemples de diplomates russes qui ont littéralement gaspillé ce qui avait été acquis par le sang des soldats russes. Et pour ne rien arranger, les Russes se souviennent des tristement célèbres accords de Khasaviurt et des deux accords de Minsk. L’idée d’un  « Minsk 3.0 »  horrifie absolument de nombreux Russes, dont moi-même. D’où la question suivante : ces craintes sont-elles fondées, oui ou non ? Je pense qu’elles sont à la fois fondées et non fondées, laissez-moi vous expliquer. Voici quelques-unes des raisons pour lesquelles ces négociations suscitent la peur, l’incertitude et les doutes : Premièrement, si vous voulez dénazifier l’Ukraine, pourquoi négocier avec des n

Macron rattrapé par les affaires – Aujourd’hui : les cabinets conseil McKinsey, Eurogroup, Boston Consulting Group…

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  Macron rattrapé par les affaires – Aujourd’hui : les cabinets conseil McKinsey, Eurogroup, Boston Consulting Group… L'émission Complément d'enquête, de mars 2021, montre l'ascension d'Emmanuel Macron, depuis ses débuts à la Commission Attali, où il s'est fait des relations dans les cabinets conseil, jusqu'à son élection gérée par les cabinets conseil. Aujourd'hui, il est soupçonné de leur avoir confié le fonctionnement de l'État. « L’influence des cabinets de conseil sur les politiques publiques, lors de la conférence de presse de présentation de son programme de campagne »  tel est le rapport du Sénat — qu’on n’a jamais vu aussi incisif envers le pouvoir… Il vient perturber l’inertie de la non-campagne présidentielle. Le Sénat y dénonce la coûteuse intrusion  « des cabinets privés qui conseillent l’État sur sa stratégie, son organisation et ses infrastructures informatiques. Peu connus du grand public, ils s’appellent Accenture, Bain, Boston Consultin

Guerre d’Ukraine: Lundi 28 mars 2022 – Jour 33

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  Guerre d’Ukraine: Lundi 28 mars 2022 – Jour 33 La bataille d’Ukraine  Ce qui se joue en ce moment sur le terrain autour de Kiev est une illustration de la stratégie russe. La plupart des médias occidentaux annoncent – pour la n-ième fois – que, nous y sommes, l’armée russe commence son assaut sur Kiev. Et après cela on reprend des communiqués de l’armée ukrainienne qui expliquent que l’armée russe a été mise en échec ou même a dû reculer.  En fait, comme nous l’avons expliqué il y a quelques jours, le but premier de l’armée russe n’est en aucun cas de se lancer dans la conquête de Kiev, qui serait très coûteuse en soldats russes et en civils ukrainiens. Depuis le début de l’offensive, l’objectif de l’armée russe a été (1) de fixer là où elles se trouvaient les forces de l’armée ukrainienne. (2) de détruire tout ce qui permettrait la mobilité des soldats ou le transport d’armes d’une région à l’autre. (3) de détruire les entrepôts d’armes et de munitions, les garages de véhicule, les

McKinseyGate (suite et pas fin) : Macron ment et s’en lave les mains

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  Sur le scandale Kinsey, sur Alstom, sur Rothschild et sur toute la nébuleuse qui gravite autour de Macron, ce candidat de la Banque, nous vous conseillons fortement la lecture du numéro 502 de  Faits & Documents  (c’est juste la fin de l’enquête sur le sujet), qui va vous faire dresser les cheveux sur la tête. Vous allez comprendre, pour ceux qui n’ont pas encore mis le nez dans ce dossier, ce qu’est la France à la découpe. Ça se passe au-dessus de nos têtes, dans les appartements discrets des banques d’affaires et des cabinets de conseil, entre les grands négociateurs (Zaoui, Weinberg, Chertok, Gaymard, Kron, Combes et cie), le populo n’y comprend goutte. Pourtant, un jour, des pans entiers de notre industrie, nos fleurons, disparaissent sans bruit médiatique dans des mains étrangères, puis de notre paysage physique, provoquant un chômage monstre, une paupérisation programmée (ils n’en ont rien à foutre), une montée de la colère (qu’ils règlent par la répression) et une montée d

Les guerres de civilisation n’ont pas de date d’échéance

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  Les guerres de civilisation n’ont pas de date d’échéance L’évacuation d’un volontaire européen venu combattre en Ukraine, blessé lors du bombardement russe sur la base tentaculaire de Yavoriv, à 25 km de la frontière polonaise. Une source officielle de la présidence française a déclaré samedi que le président russe, Vladimir Poutine,  « n’a pas montré de volonté »  pour mettre un terme à l’opération spéciale en Ukraine, durant sa conversation téléphonique avec le Président Emmanuel Macron et le chancelier Olaf Scholz ce weekend. Le compte rendu russe énonce que Poutine a informé les deux dirigeants européens de la  « situation concrète sur le terrain »  ainsi que de l’état des négociations avec les représentants ukrainiens , avant de passer en revue les difficultés liées aux négociations concernant les garanties de sécurité demandées initialement par les russes.  « Mais il ne fut fait aucune mention d’un cessez le feu. » La manœuvre militaire russe à sa propre dynamique et elle prend